Semaine Missionnaire Mondiale - 13 au 20 octobre 2013 - Évangile selon saint Luc 11,29-32.
«
Le ‘ syndrome de Jonas ‘ ne fait pas preuve de zèle pour la conversion
des gens, il cherche une sainteté de ‘teinturerie’, belle et bien faite,
mais sans ce zèle d’aller annoncer le Seigneur ».
Homélie du Saint Père durant la messe célébrée ce lundi 14 octobre en la chapelle de la Maison Sainte Marthe :
«
Jonas avait les choses bien au clair à l’esprit : la doctrine c’est
cela et c’est cela qu’il faut faire, que les pécheurs se débrouillent,
moi je m’en vais. Ceux qui vivent selon ce ‘syndrome’, Jésus les appelle
hypocrites, parce qu’ils ne cherchent pas le salut de petites gens, des
ignorants et des pécheurs. »
« Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ ne fait pas preuve de zèle pour la conversion des gens, il cherche une sainteté de ‘teinturerie’, belle et bien faite, mais sans ce zèle d’aller annoncer le Seigneur ».
« Tellement de chrétiens, a fait remarquer le Pape, - et il y en a tellement – pensent qu’ils seront sauvés juste par ce qu’ils auront fait, par leurs œuvres. Les œuvres sont nécessaires, mais sont une conséquence, une réponse à cet amour miséricordieux qui nous sauve. Car les œuvres seules, sans cet amour miséricordieux ne servent à rien. Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ , justement, n’a seulement confiance qu’en la justice personnelle, dans ses œuvres ».
« Donc, le ‘ syndrome de Jonas ‘, a souligné le Pape, nous pousse à l’hypocrisie, à la suffisance d’être des chrétiens tout propres, parfaits, parce que nous faisons ces œuvres : nous accomplissons les commandements, tout . Mais c’est une sérieuse maladie » !
« Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ ne fait pas preuve de zèle pour la conversion des gens, il cherche une sainteté de ‘teinturerie’, belle et bien faite, mais sans ce zèle d’aller annoncer le Seigneur ».
« Tellement de chrétiens, a fait remarquer le Pape, - et il y en a tellement – pensent qu’ils seront sauvés juste par ce qu’ils auront fait, par leurs œuvres. Les œuvres sont nécessaires, mais sont une conséquence, une réponse à cet amour miséricordieux qui nous sauve. Car les œuvres seules, sans cet amour miséricordieux ne servent à rien. Et ce ‘ syndrome de Jonas ‘ , justement, n’a seulement confiance qu’en la justice personnelle, dans ses œuvres ».
« Donc, le ‘ syndrome de Jonas ‘, a souligné le Pape, nous pousse à l’hypocrisie, à la suffisance d’être des chrétiens tout propres, parfaits, parce que nous faisons ces œuvres : nous accomplissons les commandements, tout . Mais c’est une sérieuse maladie » !
S.S le pape François